Selon L’Express, l’humoriste controversé Yassine Belattar a été reçu à l’Élysée avant la marche contre l’antisémitisme. Malgré sa condamnation pour menaces de mort, il est vu à l’Élysée comme «un thermomètre» permettant de prendre le pouls d’une partie de la société. D’autre part, à en croire l’article de l’hebdomadaire confirmé par le Figaro, le chef de l’État Emmanuel Macron ne se serait «pas rendu à la marche de dimanche dernier sur les conseils de l’humoriste». Une information qui n’a pas tardé à mettre le feu aux poudres au sein de l’échiquier de la droite.

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