Selon la Lettre, le leader mondial des centres d’appels prévoit de supprimer quelque 600 postes dans l’Hexagone, soit près d’un tiers de ses effectifs locaux, sous la forme de départs volontaires. Un chiffre qui représente 32 % des effectifs (1 862 personnes) de la filiale française du numéro un mondial de la relation client. Le groupe dit être en sureffectif chronique, souffrir de tarifs trop élevés, et souhaite faire vite : un accord de méthode doit être négocié avec les syndicats d’ici à la mi-décembre.

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