Les principales organisations d’éditeurs de presse françaises (l’Alliance de la presse, le SEPM, le Spiil et la FNPS) ont adressé un courrier commun au Premier ministre pour exprimer leur inquiétude face à “la multiplication d’actions législatives sanctionnant la presse”, rapporte Stratégies. Elles entendent défendre la loi de 1881 qui consacre la liberté d’informer.

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