Vénus paléolithique, nus d’Egon Schiele ou toiles de Modigliani : censurées sur les réseaux sociaux, ces oeuvres estampillées 18+ des musées viennois trouvent désormais une seconde vie sur la plateforme OnlyFans, connue pour ses contenus sexuellement explicites. Un coup d’éclat imaginé par l’Office de tourisme de la capitale autrichienne, qui a coordonné l’opération, pour “ouvrir le débat sur le rôle des algorithmes et des géants de la tech dans l’art”, explique son directeur Norbert Kettner à l’AFP.

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