Le groupe est en liquidation judiciaire, mais peut poursuivre son activité, afin de trouver un repreneur. Le 10 novembre, deux offres ont été formulées, mais semblent insuffisantes. “En six ans, j’ai injecté 30 millions d’euros dans France Loisirs, un projet qui me tenait à coeur. La transformation de l’entreprise est arrivée presque à son terme, mais a été trop lente, et la pandémie de Covid-19 nous a mis au tapis” , explique au Monde Adrian Diaconu, président d’Actissia, maison-mère de ce club de livres.Le chiffre d’affaires de ce groupe intégré (à la fois éditeur, imprimeur, diffuseur, centre d’appels et de logistique) a fondu de 22 % en 2020 par rapport à 2019, à 65,8 millions d’euros.

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