Auditionné le 20 janvier par la commission Concentration des médias en France, Bernard Arnault, PDF du groupe LVMH (les Echos, le Parisien-Aujourd’hui en France, Radio Classique…), a nié face aux sénateurs toute vélléité de rachat de Paris Match et du Journal de dimanche. Le lendemain, le grand patron est revenu sur ses propos. «Quelques minutes après l’audition, le groupe LVMH a pris contact avec moi pour m’informer d’une erreur dans ce propos et confirmer les propos du rapporteur. Une offre écrite unilatérale avait bien été transmise au groupe Lagardère pour le rachat de Paris Match et du JDD.»

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