Dans sa lettre Before dinner, Challenges explique que TDF démentait fermement être “sous mandat ad hoc” et n’avait jamais “initié aucune démarche en ce sens auprès d’un administrateur”. Challenges affirmait vendredi dernier que la cession de TDF à un consortium de fonds d’investissement (PSP, Arcus, APG, Brookfield) venait d’échouer. Toujours selon Challenges, TDF serait confronté à une dette de 3,8 milliards d’euros et l’administrateur judiciaire Fréderic Abitbol se serait vu confier un mandat ad hoc afin d’éviter un règlement judiciaire.

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