La vérification des faits ou des propos à l’image de la rubrique “Les Décodeurs” du Monde ou du “Vrai-faux de l’info” d’Europe 1 s’attardaient jusqu’ici aux seuls politiques. Mais désormais, le journal Libération compte étendre la pratique aux propos des journalistes eux-mêmes, comme il l’explique dans un billet publié mardi. Reconnaissant qu’il est “difficile de justifier cette digue”, le journal défend néanmoins qu’invoquer “un devoir de réserve” ne suffirait pas à ne pas épingler les sorties de route. Exit la “confraternelle pudeur”, donc.

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